Le désarmement: une mission humanitaire

Intro du travail fait à ce sujet:

INTRODUCTION

Il apparaît que le sujet de ce travail porte souvent à débat. En effet, chaque fois que j’en donne l’intitulé, les réactions ne se font pas attendre et cela peut aller de l’aversion (« ah oui … c’est bizarre comme sujet ! ») au plus grand intérêt.

Une chose est sure : ce sujet me passionne. Je l’ai choisi car je suis profondément pacifique, bien que j’ai toujours éprouvé une certaine curiosité pour les matières militaires et spécialement pour l’armement. En outre, je souhaite travailler dans l’humanitaire.

Le désarmement m’a par conséquent semblé être un parfait mélange de ces domaines si différents et pourtant liés l’un à l’autre. Il m’a effectivement permis d’étudier l’armement mais cela dans un but pacifiste et humanitaire.

Bien sûr, il ne s’agit que d’une synthèse des grands principes et des notions majeures du domaine du désarmement dans un cadre humanitaire. Personnellement, j’étais frustrée de ne pouvoir en dire plus mais une information en amenant une autre, je vous ai ainsi épargné un mémoire en trois volumes !

Vous y trouverez une analyse sommaire du droit international humanitaire, une étude du désarmement et du microdésarmement ainsi qu’un cas pratique du sujet, à savoir les mines antipersonnel. J’ai choisi de développer ce cas pratique car il représente un des plus beaux exemples de désarmement réellement mis en oeuvre.

Toutefois, si le sujet vous interpelle comme il m’a interpellée, je vous invite à consulter la bibliographie afin de savoir ou vous adresser pour obtenir de plus amples informations.

Ce travail contribue à démontrer que si chacun y met du sien, notamment dans le domaine du désarmement, un monde meilleur est possible.

Il est évident que cela ne se fera pas en quelques mois ni même quelques années mais peut-être nos petits-enfants pourront-ils déjà en bénéficier. Comme il l’est démontré dans ce travail, c’est dans cette optique de développement à long terme et de continuité qu’œuvre le désarmement.

Comme le dit Friedrich Hundertwasser, peintre autrichien décédé en 2000, « lorsqu’un seul homme rêve, ce n’est qu’un rêve. Mais si beaucoup d’hommes rêvent ensemble, c’est le début d’une réalité ».